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escoute !

quand nous serons tous écoutés

nous construirons des algorithmes

nous y mettrons tout l'amour que nous cachons là

celui que vous n'aurez pas

 

un peu de la rumeur des étoiles

et du vol des  papillons

et aussi un sachet de graines d'anarchie

cela suffira pour commencer

 

 

L'Histoire hoquette et ce n'est pas de rire

L'Histoire s'escane

Manuel Valls a réussi sa mue en Mister Hyde

et le socialisme autoritaire semble renaître

dans les 70's en RDA, chaque citoyen était fiché par la Stasi

nous y venons

le terrorisme à bon dos

pourquoi les croire?

pourquoi leur faire confiance ?

déjà ils nous mentent,

il y a des silences

cette loi concerne chacun d'entre nous

donnons de la voix

Commentaires

  • Dans cette affaire l’argument de choc consiste à dire : « Moi je n’ai rien à me reprocher donc, étant blanc comme neige, la police peut bien fouiller tout ce qu’elle veut ».
    Partant de là, on peut se demander de suite pourquoi nos anciens avaient donc fait la différence entre vie privée et vie publique ? Comme par exemple la distinction entre voie publique et domicile privé dans lequel la police ne pouvait intervenir qu’au point du jour avec commission rogatoire du juge, ou bien encore une automobile qui était aussi considérée comme un lieu privé, ou le courrier considéré comme intouchable etc… Ces principes étaient des piliers de notre vivre ensemble et personne n’avait la bêtise de les contester.
    Depuis quelques décennies des dérogations ont commencé à être apportées à ces principes républicains, lois anti-drogue, lois anti-terroriste etc…
    Dire : « Moi je n’ai rien à me reprocher donc, étant blanc comme neige, la police peut bien fouiller tout ce qu’elle veut » est stupide car si nos anciens avaient institué des principes, c’est parce qu’ils savaient que la nature humaine est changeante et qu’imposer quelques principes étaient la meilleure manière de se protéger d’un éventuel arbitraire et que celui qui n’a rien à cacher peut aussi se retrouver embarquer dans quelque mésaventure au gré d’une mauvaise humeur coercitive. Et puis être souverain chez soi, dans sa vie privé, semblait un minimum. Autrefois on savait que les humains ne sont pas parfaits, les uns comme les autres, tous mêlés, chacun avec sa part d’ombre. Maintenant il semblerait que la société se partage entre bons citoyens et voyous, les bons citoyens devenant tous des bisounours transparents…

  • @mecano
    salut et merci pour ce commentaire !
    La liberté n'est pas négociable. On s'en empare.
    Le pouvoir actuel semble l'oublier qui croit que le troupeau aime son joug.
    Une tribune salutaire dans Libération du 18/04/2015

    http://www.questionsdeclasses.org/?Tribune-Manifester-en-France-c-est#forum2500

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