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L'impossible

une fois n'est pas coutume, j'ai piqué l'idée de la note précédente "Pour un stage d'insertion" dans un papier de Yann Moulier Boutang paru dans le dernier numéro de L'impossible

Yann Moulier Boutang est économiste et professeur d'économie à l'Université de Compiègne.

Il est l' auteur de nombreux livres dont "L'abeille et l'économiste" paru en 2011 chez Carnets Nord.

L'impossible, lui, je vous le conseille vivement, c'est le dernier mensuel de Michel Butel.

En me retournant pas trop loin, jusqu'aux années 70, de nombreux journaux et mensuels ont contribué à mon façonnage

il y eut "La Gueule Ouverte" et "Libé" première version, avant les premiers recentrages et c'était génial de lire ce journal à l'âge du lycée

une mention spéciale du jury également pour "Le fou parle" inclassable météoritique et précocement disparu

puis en 1984 sortit "L'autre journal" de Michel Butel

alors vous comprenez pourquoi je vous recommande L'impossible

Commentaires

  • Avoir eu le premier numéro de « Libé » en main, fondateur JPS, pas les cigarettes mais le philosophe. L’acheter quotidiennement et l’utiliser pour habiller sa poubelle. Certains savent qu’à l’époque le papier journal servait à beaucoup de choses : pour le poissonnier emballer les poissons, pour le marchand ambulant faire des cornets à frites, pour les clients à l’hygiène intime dans les toilettes publiques des cafés et à la maison nettoyer les poêles à frire, faire les vitres et puis entre autres habiller les poubelles ; le sac poubelle n’avait peut-être pas été encore inventé, je ne sais pas. Toujours est il que « l’Indépendant » était fort utilisé ; « quotidien républicain du midi », je crois bien en sous titre ; un des plus vieux journaux de France avec le « Figaro » ; dans un accès de pudeur ils ont supprimé le sous titre mais n’ont pas eu le courage de supprimer le préfixe. Moi c’était « Libé » que j’utilisais. Un copain plus ou moins maospontex m’avait dit que ce serait bien si tout le monde faisait pareil et j’avais un peu hésité avant de comprendre ce qu’il sous-entendait. A l’époque on s’empoisonnait un peu à l’encre et au plomb mais on recyclait le papier journal encore que le papier de certains comme « Charlie-Hebdo », trop épais, se prêtait mal à certains usages. Quant à emballer le poisson avec les journaux en ligne, faut voir.

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