on les croit souvent à nos portes
mais ils sont bien plus près
ils croissent en notre sein
se nourrissant de la sécheresse du cœur
de la fatigue de l'âme
coetzee
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en attendant les barbares
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on les croit souvent à nos portes
mais ils sont bien plus près
ils croissent en notre sein
se nourrissant de la sécheresse du cœur
de la fatigue de l'âme