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le poète et l'émir

Le Qatar craint les poètes,

Mohammed al-Ajami, alias Ibn al-Dhib, vient de l'apprendre à ses dépens. Pour avoir en 2011 écrit "le poème du jardin" appelant à multiplier les révolutions arabes, il s'est retrouvé les fers aux pieds condamné à perpétuité.

Sa peine ayant par la suite été commuée en 15 années d'emprisonnement, il sera peut-être libéré sous condition pour lui permettre d'assister à la coupe de monde de football en 2022...

le prince héritier est si magnanime !

et quel bel élan de générosité cela serait -qui parle d'une action marketing  ?-  si les millionnaires en short du PSG se cotisaient pour payer la caution...




(*) je n'ai, malheureusement pu trouver le poème en question...si d'aventure...

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