Il y a le kyste arachnoïdien de la vallée sylvienne , les kystes de la plateforme quadrijumelle et aussi les kystes de la grande citerne. Le kyste peut également se rompre à la périphérie, c’est dire s’il est en voie de résorption.
Nos kystes anciens s'appelaient Larzac ou Creys-Malville ou Plogoff ou La Hague lorsque les Verts étaient noirs, ils ont maintenant du mal à se déplacer tant leurs dents rayent le plancher.
En chemin, nous avons vu se modifier la panoplie des gardes mobiles.
Celle d'aujourd'hui est à mi-parcours entre Dark Vador et Robocop
Un kyste n'a rien à faire dans un aéroport, fut-il furtif.
Le kyste n'a pas d'ailes et n'héberge aucun avion.
Un kyste c'est une boule, le kyste est à l’Intérieur, il tape l’incruste, c’est la métaphore médicale de l’ennemi intérieur cher à une autre ministre du même ministère.
Le kyste dit républicain (lorsque des barricades naissait la république) s’oppose à la puissance publique, il vise à libérer un territoire en cela il se rapproche du TAZ, cher à Hakim Bey, la zone temporaire autonome...(on dit ZAD, sans doute en breton, du côté de Nantes)
Je crois qu'histologiquement un kyste se définit par une cavité remplie de liquide, le kyste s’apparenterait alors à une bouteille pleine, ce qui le rend tout de suite plus fréquentable.
Commentaires
Les aviateurs de légende, pas forcément fréquentables d’ailleurs, n’eurent pas besoin d’aéroport pour atterrir et entrer dans le mythe : Mermoz avalé par l’océan, Saint Exupéry englouti par la grande bleu, Guillaumet se posant dans la neige à flanc de montagne et qui ne se prit pas pour une bête, De la Roche, Raymonde pour les amis, qui fait sa dernière culbute dans un pré pas bétonné, Nungesser et Coli abimés en mer eux aussi, Guynemer abattu en plein vol… tous plein ciel, s’accrochant à du vide sur des balcons de nuages, dansant tout là haut au rythme des pistons de préférence étoilés, la tête de cuir emplie de folles déraisons…
@mécano
Bravo l'ami !
belle envolée, je ne vous connaissais pas cette fibre d'aéronaute ...