le bruit court une guerre (la guerre se tord au fond) le nœud est loin cela s’atteint
après
une ville en construction déplie son bord le plus brut
douceur supra naturelle des mondes en fusion la Terre fond nous coulons
les oiseaux parlent
les vieux assis sur les bancs gravent l’entropie sur de petits morceaux de bois
en bas dans les jardins où pousseront demain
comment compter les jours qui nous séparent du rêve
©lacalavera
Commentaires
Bravo, lâchez les poèmes comme d’autres les chiens, oui envoyez la poésie à la charge. Il faut la prendre, quitte à s’y méprendre et ensemble nous affûterons les mots.
La plume est plus forte que l'épée! :)
Ce sera une énorme joute verbal ou la verve transcendera l'humanité! :)
Marie.