Et la Grèce vient comme une illustration du livre de Naomi Klein « La stratégie du choc, le capitalisme du désastre » (Actes Sud, 2008),
Comment le Marché profite des crises pour s’ imposer et vendre son ultralibéralisme comme le seul remède possible
Il est vrai que les opposants n’ont plus de voix
Nous sommes dans la monophonie
Entretenir la peur la dette est une bête
Elle ronge elle brûle elle grossit.
Il y eut la couche d'ozone, le réchauffement climatique, le terrorisme
maintenant nous avons la dette.
Mais il n'y a pas de traçabilité, cela existe pour le boeuf ou le cochon mais
nul n'est capable de dire où est passé l'argent dans quelles poches et qui tire les ficelles
ce sont les mêmes qui encaissent qui prêtent et pleurent leurs créances
le grand Marché, le bon marché
Il y a de l'incorrection à corriger un peuple, eux qui furent mis sous tutelle britannique après la seconde guerre mondiale, la monarchie imposée, l'aide désinteressée de la CIA et puis les colonels...
je suis grec, de coeur, j'aime ce pays et je m'étonne que l'on soit si peu de grecs aujourd'hui, alors qui sera le nouvel Ulysse, le nouvel Hérakles pour botter le cul des banquiers des assureurs et des fonds d'investissements ?
* ce n'était pas mon propos, mais pour approfondir le sujet, il y a ce bel article de Serge Halimi dans le "Monde Diplomatique" de Juillet..."Ne rougissez pas de vouloir la Lune "